C’est à Pacific Palisades, un quartier de Los Angeles, que Patrick Bruel a été débusqué à bord de son bolide, un Aston Martin DBS, dont la valeur serait estimée à 350 000 euros.
Alors que Patrick Bruel est déjà anéanti par l’accusation d’une esthéticienne, une nouvelle salve est portée à son encontre, celle fois par une journaliste ’anonyme’.
Mais dans ses confidences, à aucun moment il n’a eu harcèlement, plutôt de la drague ’insistante’.
Après ’Closer’, c’est au tour de ’Public’ de revenir sur les déboires actuels du chanteur de 60 ans, occasion de revenir sur l’accusation d’harcèlement sexuel portées contre lui par une esthéticienne dont il a sollicité les services en marge d’un concert en Corse en août dernier.
Et cette fois, c’est une journaliste qui se livre. Elle prétend avoir croisé à plusieurs reprises Patrick Bruel.
’Moi, la première fois qu’il m’a draguée, j’avais 16 ans. Ensuite, il réessayé à chaque fois qu’on se croisait pour le boulot’, confie-t-elle, allant même loin dans ses propos, en assurant qu’elle n’est pas la seule.
’On est plein de journalistes dans ce cas, mais ne n’est pas le problème. Quand tu lui dit non, il obtempère’, tient cependant à préciser cette ’journaliste’.
Les avocats du chanteur ont refusé de commenter ces allégations.
Patrick Bruel a déjà réagi aux accusations de l’esthéticienne.
’Nous étions une heure avant mon concert, dans ma loge, accessible à tous. Mon équipe, mes collaborateurs, mes enfants, étaient à proximité, et ont l’habitude d’entrer à tout moment dans la loge. Je n’ai pas eu la moindre intention, ni le moindre geste déplacé envers cette femme’, a-t-il indiqué.
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