Pascal Praud s’insurge contre Christine Ockrent après ses propos chocs sur le Groupe Bolloré
Un échange musclé secoue le monde des médias ! Invitée ce samedi 22 novembre dans l’émission Quelle époque ! sur France 2, la journaliste iconique Christine Ockrent a donné un « avis tranché » sur sa vision des chaînes appartenant au magnat de la presse, des propos qui ont immédiatement « choqué » le présentateur star de CNews, Pascal Praud.
Alors que l’animatrice de Quelle époque l’interrogeait sur la légitimité des critiques visant l’audiovisuel public, Christine Ockrent — qui présente Affaires étrangères sur France Culture (chaque samedi de 12 h 45 à 13 h 30) — a déclaré : « Moi, j’ai le bonheur de travailler à France Culture, l’un des fleurons de l’audiovisuel public et de Radio France.
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Et j’estime que les attaques dont l’audiovisuel public est la cible sont d’autant plus absurdes qu’elles sont faites par des gens qui sont la négation même de nos métiers à mon avis ».
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Celle qui fut la première femme à présenter le journal de 20 heures sur France 2 a ensuite visé directement la concurrence : « C’est-à-dire qu’il suffirait plutôt que de les accabler, de faire la liste quotidienne de toutes les erreurs, de toutes les falsifications des faits, de toute la désinformation qu’ils déversent. » Elle a ensuite nommé l’adversaire : « J’ai vu que les deux présidentes de Radio France et France Télévisions vont attaquer en justice le groupe Bolloré, pour le nommer. Personnellement, je préférerais que toutes les semaines on publie toutes les erreurs que ces médias diffusent. »
Ces affirmations n’ont évidemment pas été du goût de Pascal Praud ! Le journaliste, qui officie chaque jour sur CNews avec son émission L’heure des Pros, s’est senti directement visé. Il a donc publié un message cinglant sur son compte X pour faire part de son indignation :
« Ce samedi sur France Télévisions, Madame Ockrent a parlé de “falsifications des faits” en évoquant le traitement journalistique de CNews. “Falsifications des faits” ? À quoi fait-elle référence ? À quels reportages ? À quels témoignages ? “Falsifications des faits” est une accusation grave. Si Madame Ockrent a des éléments, qu’elle le dise. Dans le cas contraire, qu’elle se taise », a-t-il écrit.
Le ton monte entre les figures de l’audiovisuel public et celles des chaînes de Vincent Bolloré !