L’avocat de Brigitte Macron dénonce le plan financier secret derrière les rumeurs transphobes !
Brigitte Macron « harcelée » : l’avocat dénonce une « campagne odieuse » et une médium qui aurait « gagné beaucoup d’argent » grâce à la rumeur transphobe visant la première dame.
Le procès pour cyberharcèlement contre Brigitte Macron continue de faire rage, et l’avocat de la Première dame, Me Jean Ennochi, a pris la parole avec une grande vigueur, dénonçant une « campagne odieuse » et un « harcèlement en meute ».
À la barre, Me Ennochi a martelé : « Nous sommes dans un raid, un cyberharcèlement en masse. Ce n’est pas un simple débat d’opinion, c’est une entreprise de dénigrement systématique ».
L’avocat a notamment ciblé le prévenu Aurélien Poirson-Atlan, alias Zoé Sagan, l’accusant d’avoir « un ego surdimensionné » et de vouloir « s’exonérer pour des raisons artistiques ».
Mais l’accusation la plus cinglante concernait le rôle de la médium parmi les prévenus, Amandine Roy (qui avait déjà été à l’origine de la vidéo complotiste affirmant que l’épouse du président était un homme).
L’avocat de Brigitte Macron a affirmé que « la vidéo colportant la rumeur lui a rapporté suffisamment pour qu’elle puisse employer deux salariés ».
La rumeur aurait donc été une véritable source de revenus pour la médium ! Face à ces allégations, la principale intéressée s’est dite « écœurée ».
Dans un second temps, son confrère, Me Olivier Ennochi, a rappelé les limites de la loi : « La liberté d’expression n’est pas sans limite. Le harcèlement en est une. Le droit à l’humour ne permet pas tout ». Les avocats de Brigitte Macron sont bien « remontés » et déterminés à obtenir justice face à ce « harcèlement en meute ».
