Brigitte Macron aurait été traumatisée par le menace qui aurait pesé sur elle, une foule en furie supposée s’être dirigée vers l’Élysée. Et l’agression de son petit-neveu aurait accentué ses craintes, a rapporté France Dimanche.
Le verdict est tombé ce mardi 14 février 2023 au tribunal judiciaire de Lisieux (Calvados) dans l’affaire les opposants à Brigitte Macron, victime d’une odieuse rumeur. Elle était présentée comme un homme sur les réseaux sociaux.
Deux femmes accusées de diffamation dont Delphine Jégousse, alias Amandine Roy, ont en effet été reconnues coupables. Elles avaient affirmé dans une vidéo publiée en décembre 2021 que l’épouse d’Emmanuel Macron était un homme et que ses enfants n’étaient pas les siens.
Connue sous le nom de "Brigitte Trogneux", cette sombre affaire, qui a irrité la première dame, avait suscité un certain écho sur Internet, notamment parmi les complotistes. Les deux femmes ont été condamnées par le tribunal judiciaire de Lisieux pour avoir répandu des rumeurs transphobes.
Le 10 décembre 2021, une femme se prétendant "journaliste indépendante" a publié une vidéo en compagnie d’une médium où elle affirmait que Brigitte Macron, épouse du chef de l’Et. était en réalité un homme. Les deux prévenues devront payer une amende de 2 000 € chacune pour leur acte de diffamation.
L’une des femmes avait diffusé l’an dernier deux affiches du caricaturiste toulonnais Michel-Ange Flori. Une affiche montrait le chef de l’État grimé en Adolf Hitler et dans l’autre en Philippe Pétain.
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