Brigitte Macron est affichée en Une de France Hebdomadaire, qui l’affirme au prise avec une humiliation publique.
Dès qu’il s’agit de défendre Emmanuel Macron et sa politique, sa mère, Françoise Nogès n’est près de transiger et n’a d’ailleurs pas hésité une seconde à recadrer en public une vendeuse qui a eu le malheur de le qualifier de « c*n ».
Cette surprenante anecdote est exhumée par Gaël Tchakaloff, qui plonge dans l’intimité du couple présidentielle dans Tant qu’on est tous les deux (Flammarion/Versilio, à paraître le 25 août).
Les bonnes feuilles de ce livre politique sont publiés par le magazine « Le Point ».
« Au détour d’une phrase, j’ai le malheur d’avancer que le président a confiance en lui, comme un test, une boutade », raconte l’écrivaine, qui intervient régulièrement dans « Les Grosses têtes », le rendez-vous de Laurent Ruquier sur RTL.
« Françoise me fusille de ses yeux mer écossaise sous tempête, c’est un reproche, ça ? », demande alors la mère du chef de l’Etat, avant de raconter une autre anecdote survenue dans un magasin lorsqu’une vendeuse parle du président en l’appelant, ce c*n. La belle-mère de Brigitte Macron attend que tout le monde s’éloigne et, « lorsqu’elle se trouve seule avec la jeune femme, lui explique, ce monsieur a une mère et cela ne se fait pas de l’appeler ainsi, même pour plaisanter. Partout où elle va, Françoise le claironne : elle est la mère du président de la République ».
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