Alors au fond du seau à la suite des accusations de plagiat, Gad Elmaleh ne semble pas avoir été soutenu par son entourage, notamment par la mère de son fils, Charlotte Casiraghi. L’humoriste s’était senti vulnérable.
Et il le confirme lors de son passage sur le plateau de "Sept à Huit", l’émission hebdomadaire de TF1, où il a assuré la promotion de son album de reprises des chansons de Claude Nougaro.
Celui qui s’est produit ce week-end à guichets fermés à Monaco a déploré l’emballement des réseaux sociaux suite aux accusations de plagiat portée à son encontre par CopyComic.
Il reconnait qu’il n’a pas géré cette histoire à cause de son état de fragilité à l’époque, sans entrer dans les détails.
« J’ai mal géré la chose au début parce que j’étais fragile », a-t-il indiqué, déplorant avoir ameuté son armée d’avocats.
« Mon rêve aurait été d’avoir la force de dire à ce moment-là que j’ai pris deux, trois idées de comiques américains par-ci, par-là, mais que je vous e***erde », a-t-il indiqué. J’ai trente heures de spectacle derrière moi, j’ai fait toute une carrière ».
« Ça peut être magique, comme ça peut être mortel. C’est la grande différence entre le bouche-à-bouche et le bouche-à-oreille. (...) Celle-là, elle est de moi ! ».
Une certitude en tout cas, ses fans demeurent fidèles