Alors que le président de la République, Emmanuel Macron, rendait hommage aux volontaires des Jeux, aux élus locaux, policiers, militaires et pompiers présents, Gabriel Attal affichait un visage particulièrement fermé.
Le chef de l’État a salué ces invités comme « le vrai visage de la France », mais l’attitude de Gabriel Attal, avec un regard sombre par moments, ne pouvait passer inaperçue.
Cette tension apparente semble illustrer une situation politique complexe. Un ministre sortant a même commenté : « L’un reste, l’autre part », laissant entendre que la nomination d’un nouveau Premier ministre pourrait intervenir prochainement.
En poste depuis quelques mois seulement, le premier ministre pourrait donc bientôt céder sa place, si les prévisions avancées en coulisses se concrétisent dans les jours à venir. Une transition qui semble inévitable, mais qui n’en est pas moins chargée de tensions.