Fragilisée par une péri­car­dite dysim­mu­ni­taire aïgue, Jane Birkin est soute­nue par ses filles

– par Nora Semlali
Fragilisée par une péri­car­dite dysim­mu­ni­taire aïgue, Jane Birkin est soute­nue par ses filles

Après le deuil et son face à face avec la mala­die, Jane Birkin reprend tout doucement goût à la vie apparaissant tout sourire, entourée de ses filles à l’occasion de la Fashion Week pari­sienne.



Eprou­vée par le deuil de sa fille aînée Kate Barry, et la maladie, pour la chanteuse « le bonheur est désor­mais un devoir », rapporte Gala qui lui offre la Une de son dernier numéro.

Le 26 septembre dernier, Jane Birkin avait quitté son domicile du 7e arron­dis­se­ment pour découvrir « les créa­tions d’An­thony Vacca­rello pour la maison Saint Laurent ».

Pour l’occasion, elle était entourée de ses filles, Char­lotte Gains­bourg et Lou Doillon. « Instant de commu­nion, rare et d’au­tant plus précieux. Depuis la dispa­ri­tion de Kate Barry, la fille et la sœur aînée, en décembre 2013, les trois femmes ont entamé le travail du deuil sépa­ré­ment », commente Gala.

Et de rappeler que Charlotte Gainsbourg a quitté Paris pour poser ses valises avec sa petite famille à New York.
Lou Doillon s’était quant à elle réfugiée dans d’un deuxième disque et sur scène.

« Jane, déjà éprou­vée par une péri­car­dite dysim­mu­ni­taire aïgue, a lu des textes de Serge Gains­bourg, puis repris ses titres en version sympho­nique, devant des audi­toires respec­tant un silence reli­gieux », indique Gala.