« A son indicible douleur s’ajoute aussi comme elle l’a confié à un proche, le remords, vain mais si touchant, de ne pas avoir pu sauver la vie de Philippe, comme il l’avait fait pour elle lors de son cancer », précise l’hebdomadaire people dans les pages de son numéro de cette semaine.
Et de se demander ensuite si la journaliste de TF1 trouvera la force de faire son grand retour sur nos petits écrans.
Et surtout de « poursuivre la longue et belle route tracée et parcourue durant plus de 18000 jours pour autant de nuit » avec son mari. Cette fois, elle le fera seule.
Certes, elle « a pour l’instant renoncé à présenter son bulletin météo et annulé tous ses rendez-vous professionnels », rappelle France Dimanche.
Mais ce ne serait que partie remise, indique le magazine people, avant de relayer les propos de la journaliste.
« Je suis une femme incroyablement optimiste », confiait à elle à Paris Match en 2013.
Le mari d’Evelyne Dhéliat, on le rappelle, était publicitaire et originaire de Corse. Philippe « avait apporté un grand soleil dans sa vie. Quand elle l’avait connu, Evelyne était jeune. Elle avait 18 ans et n’avait pas encore trouvé sa voie. Ce n’est que 15 ans après leur union qu’elle allait entrer à l’ORF pour devenir speakrine, Philippe n’avait pas été séduit par sa gloire, mais par sa beauté. Ils se sont mariés le 15 avril 1966 », indiquait Paris Match.
Philippe Maraninchi étaitle seul homme de sa vie. « les jours les plus ensoleillés de ma vie ont été celui de mon mariage et et celui de la naissance d’Olivia », confiait-elle. Leur fille Olivia, qui est avocate, était née deux ans plus tard.
Mara était encore là « au moment, où attirée par les lumières de la télévision, Evelyne hésitait à se lancer », poursuivait l’hebdomadaire. Et de confirmer qu’entre eux, ça n’a pas toujours été rose. Mais, la solidité de leur couple n’a jamais été remise en cause.