
Ce mardi 16 juillet, Gabriel Attal a soumis sa démission au président Emmanuel Macron. Au cours d’un ultime Conseil des ministres, les deux hommes ont échangé quelques mots.
Alors qu’Emmanuel Macron était en plein meeting à Paris Bercy, nouvelle étape de sa campagne présidentielle, sa voiture de sécurité a été dérobée, rapporte Le Point sur son site internet.
Des documents sensibles ont été dérobés, et notamment plusieurs pièces d’identité, des cartes tricolores de police et des permis de port d’arme qui se trouvaient à l’intérieur du véhicule.
Le leader d’En Marche a été informé de ce vol à l’issue de son meeting.
Emmanuel Macron est, par ailleurs, sous haute protection après avoir été ciblé par un projet d’attentat, qui aurait été initié par Clément B., 24 ans, et Mahiedine 29 ans, interpellés mardi à Marseille.
« Nous avons été prévenus que deux individus préparaient un attentat contre le QG d’un gros candidat, nous avons été invités à renforcer la sécurité de nos bureaux, ce que nous avons immédiatement fait », explique au Monde un proche du leader d’En Marche, précisant que désormais des rondes de police ont aussi été mises en place autour du QG du candidat.
Il a été conseillé au candidat à la présidence de la république d’éviter dans « la mesure du possible d’utiliser les transports en commun, comme le train ».
La sécurité de ses meetings a par ailleurs été renforcée. « Un groupement du GIGN était même présent dans la salle qui a accueilli sa réunion publique à Marseille le 1er avril », est-il ensuite indiqué.
Toujours selon Le Monde, Emmanuel Macron est « actuellement protégé par une douzaine de membres du Service de la protection des personnalités de la police nationale (SDLP), qui se relaient auprès de lui jour et nuit ».
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