David Hallyday a échappé au pire, ce trouble qu’il a terrassé

– par Nora Semlali
David Hallyday a échappé au pire, ce trouble qu'il a terrassé

Fort heureusement, David Hallyday, qui serait à la tête d’une immense fortune, ne semble pas avoir hérité d’un « mal » dont aurait souffert son illustre père, emporté des suites d’un cancer.



Il était incapable de faire des économies et de penser à l’avenir. Le regretté Johnny Hallyday était atteint de la fièvre acheteuse. Il s’agit de l’oniomanie ou trouble lié à l’achat compulsive.
Il est décrit comme la manie compulsive des achats, généralement peu ou pas nécessaires à l’individu.

Jean Pons, ancien imprésario du Taulier, a bien connu le mari de Laeticia Hallyday.
Et sait plus que tout autre combien ce dernier dépensait sans compter.

« L’argent, Johnny ne sait pas ce que c’est. Il est l’un des rares hommes de spectacle à se comporter aussi peu en homme d’affaires », a-t-il déclaré.
Johnny Hallyday a toujours « mené grand train sans se soucier la moindre seconde des dettes qui s’accumulaient ».
Et de réviser qu’ Universal, son ancienne maison de disques, lui a ainsi assuré plus de quinze prêtes entre 1978 et 1986, pour un « total de 15 millions d’euros !
Ces prêts lui avaient à l’époque permis non seulement de payer le fisc à la fin des années 70, mais aussi de s’offrir la maison à Marnes-la-Coquette, que sa veuve est forcée de vendre pour s’acquitter de ses dettes estimées à une trentaine de millions d’euros.

« Pour rembourser ses dettes, le rocker a revendu ses droits sur ses produits dérivés, son nom, la marque Johnny Hallyday, ou son site internet », est-il indiqué dans les colonnes Paris Confidences.