Charlotte Casiraghi, à cause de la pression, elle a renoncé à une carrière dans l’enseignement

– par Christophe Wiedemann
Charlotte Casiraghi, à cause de la pression, elle a renoncé à une carrière dans l'enseignement

Alors qu’elle se destinait à la recherche et une carrière dans l’enseignement, Charlotte Casiraghi a été contrainte d’arrêter à cause de la pression.



La fille de Caroline de Monaco se destinait en effet à l’enseignement et à la recherche. Mais après une licence de philosophie, celle que son professeur Robert Maggiori voyait poursuivre en thèse arrête, comme le rappelle l’Observeur de Monaco.

« Je suis très perfectionniste, je me mettais trop de pression pendant les examens. J’avais besoin de faire une coupure », explique-t-elle aujourd’hui.

Et elle avait par la suite fait un passage dans l’édition chez Robert Laffont et le journalisme.
Celle qui partagerait la vie du producteur Dimitri Rassam avait en effet créé la revue Ever Manifesto avec deux amies.

Et l’héritière des Grimaldi se consacre aussi à ses projets philosophiques. Elle a lancé les rencontre philosophiques de Monaco pour transmettre cette discipline au grand public.

« Ce que je désirais le plus, ce n’était pas emmagasiner des connaissances mais les partager », dit-elle.
Et de poursuivre : « Finalement, cela s’est transformé en vraie entreprise ».

« En deux ans, j’ai rencontré les philosophes universitaires les plus brillants, lu beaucoup de livres. J’ai parfois l’impression d’être encore à l’université, plaisante Charlotte Casiraghi qui n’a pas hésité une seule seconde à monter le projet à Monaco. La Principauté a toujours représenté une terre d’accueil pour des projets d’avant-garde. C’était une évidence de poursuivre cet héritage historique ici ».