Charlène de Monaco : pourquoi son proche ami Vladimira-t-il disparu de son entourage ?

– par Nolwenn A. Dalpiva
Charlène de Monaco : pourquoi son proche ami Vladimira-t-il disparu de son entourage ?

Le mystère plane toujours sur les amitiés de la princesse Charlène. Alors que la santé de l’épouse d’Albert II a été au cœur de toutes les inquiétudes cette année, un nom refait surface dans les colonnes de la presse spécialisée : celui de Vladimir Doronin.



L’homme d’affaires russe de 59 ans, célèbre pour son ancienne idylle avec Naomi Campbell, est un intime du couple princier depuis des années. Pourtant, celui qui aurait été un soutien de taille pour la Princesse lors de sa longue convalescence en Afrique du Sudsemble avoir été rayé de la carte.

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Selon plusieurs rumeurs, Charlène de Monaco se serait délibérément « écartée » de certains de ses proches pour faire taire les mauvaises langues.

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Il faut dire que la proximité entre l’ex-nageuse et le milliardaire a alimenté bien des fantasmes. Une source citée par The Sun affirmait récemment qu’ils « ont été en contact et ont passé du temps ensemble », laissant entendre que la princesse Charlène de Monaco aurait trouvé auprès de lui une épaule sur laquelle se reposer « au milieu de ses problèmes de mariage ».

Ces allégations ont forcé le prince Albert à monter au créneau. Le souverain a tenu à clarifier la situation en assurant que l’état de sa femme, souffrant d’« épuisement, à la fois émotionnel et physique », n’avait strictement rien à voir avec leur vie de couple : « Ce ne sont pas des problèmes dans notre relation ; pas avec la relation entre un mari et sa femme », a-t-il martelé.

Pour se reconstruire loin de l’agitation, Charlène de Monaco s’est installée dans un « lieu secret hors de la Principauté », fuyant une vie officielle dont elle ne pouvait plus assumer la charge.

Dans ce contexte de fragilité extrême, où des « problèmes de santé mentale » ont été évoqués, le maintien de certaines amitiés masculines jugées trop encombrantes par les tabloïds aurait pu nuire à la paix du palais.