Charlène de Monaco, le jour où elle a fait « honte » au prince Albert

Si aujourd’hui Charlène de Monaco est aujourd’hui apaisée et sereine en public, ce fut loin d’être le cas à ses débuts sur le Rocher. La première dame s’illustrait par son absence. Et elle aurait même fait honte au prince Albert, le père de ses jumeaux, Gabriella et Gabriella.
Un média espagnol a exhumé un épisode en se basant sur les révélations de ex-ambassadeur du Portugal en Espagne, José de Bouza Serrano, Les vraies familles de notre époque.
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Et il a été question de l’épouse du prince Albert de Monaco.
L’épisode le plus embarrassant remonterait à l’intronisation du roi des Pays-Bas, Willem-Alexander, et de son épouse, la reine Maxima. L’ancienne nageuse avait brillé par son absence, prétextant le mariage d’une amie en Afrique du Sud pour motiver son forfait.
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Dans des extraits relayés par Bekia, l’officiel portugais raconte le malaise du souverain monégasque.
« J’ai entendu le prince Albert s’excuser. Elle avait un autre engagement : le mariage d’une amie », lance-t-il, avant de critiquer ouvertement ce choix. Selon lui, elle « représente aussi Monaco et ce qu’elle représente est beaucoup plus important que le mariage de certains amis ».
À l’époque, Closer avait également évoqué cette absence, affirmant que la princesse refusait de croiser d’autres princesses enceintes. Le magazine people rapportait que l’événement était empli « d’images d’un rêve que Charlène espère réaliser, elle-aussi ».
Et d’ajouter à un tacle acerbe : « Mais lorsqu’elle est réapparue enfin, le 7 mai, à Monaco, pour le gala de La femme de l’année, on ne peut pas franchement dire que son visage irradiait ».
Toutefois, Charlène de Monaco avait mis les pendules à l’heure concernant une prétendue inimitié avec la reine Maxima des Pays-Bas, qui aurait pu motiver son absence. Interrogée par le Times Weekend Magazine, elle avait déclaré : « comme elle vient d’Argentine et vit en Hollande, nous avons fait à peu près les mêmes choix de vie. Elle m’a donné des conseils auxquels je peux m’identifier ».