La diva québécoise expliquait que cette marque baptisée CELINUNUNU, et commercialisé depuis la mi-octobre, avait pour but de libérer ‘les enfants des rôles traditionnels de garçon/fille’.
Et elle leur permet aussi de « grandir sur les valeurs d’égalité avec la liberté de renforcer leur propre personnalité basée sur le respect mutuel ».
Et ses explications lui avaient valu une accusation de satanisme. Closer de son côté expliquait qu’il s’agit d’une simple posture commerciale.
Le National Catholic Register qui a recueilli les paroles d’un prêtre, John Esseff, explique que « cette histoire de genre a un caractère démoniaque ».
Il s’agit soit d’un garçon soit d’une fille, martèle-t-il.
« C’est la chose la plus naturelle au monde à dire. Mais dire qu’il n’y a pas de différence, c’est satanique », a-t-il indiqué.
« Le diable est un menteur et d’énormes mensonges sont racontés. Ceci est fait pour l’argent, et il y a une discorde qui provient de tout ça, des marques du diable. Cette [neutralité de genre] est un stratagème qu’il a. Il est guidé par un agenda », lance-t-il par ailleurs. Céline Dion serait donc une sorte de diable.