L’affaire des cambriolages dont Anne-Sophie Lapix a été victime prend une tournure encore plus effrayante.
Selon les révélations du Parisien, repris par le dernier numéro de Public, la journaliste et son fils ont frôlé le pire lors de la dernière tentative d’effraction de leur domicile le 21 janvier dernier.
Les cinq malfaiteurs, arrêtés en fuite, étaient en possession d’un arsenal inquiétant : gants en latex et noirs, cagoule commando, tournevis, revolver démilitarisé, rouleau de ruban adhésif... Des indices qui laissent peu de doutes sur leurs intentions criminelles.
Anne-Sophie Lapix a été sauvée par son fils rappelle la publication.
C’est grâce à l’intervention inespérée d’Esteban, le fils aîné d’Anne-Sophie Lapix, que le drame a pu être évité.
Rentrant de soirée, il a surpris les cambrioleurs en train de forcer la porte d’entrée, les faisant fuir précipitamment. Son frère Aurélien et leur mère dormaient alors paisiblement, ignorant le danger imminent qu’ils ont frôlé.
Ces quatre tentatives de cambriolage en quelques mois laissent planer une menace permanente sur l’hôtel particulier de la journaliste. Les suspects, âgés de 17 à 25 ans, étaient dirigés à distance par un chef surnommé "Ben Laden", qui leur a transmis l’adresse d’Anne-Sophie Lapix via la messagerie cryptée Signal.
Selon les informations du Parisien, les cambrioleurs auraient collecté l’adresse de la journaliste en s’infiltrant auprès de livreurs de colis et de repas. Cette pratique, malheureusement courante, expose les personnalités à un risque accru de cambriolages.
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