Alain Delon, Jacques Dutronc, sérieuses dissensions, une célèbre actrice sème la zizanie

– par Nora Semlali
Alain Delon, Jacques Dutronc, sérieuses dissensions, une célèbre actrice sème la zizanie

Très fragilisé par les conséquences de son AVC, Alain Delon en voudrait à Jacques Dutronc, qui aurait brisé le coeur d’une personne qui lui est chère. Il s’agit de Romy Schneider.



La regrettée actrice a eu une liaison avec Jacques Dutronc en 1975 lorsqu’ils ont tourné ensemble "L’Important c’est d’aimer".

France Dimanche revient sur leur histoire dans son édition de cette semaine, rappelant que sur le plateau de tournage, Jacques Dutronc, isolé dans sa demeure en Corse, a fini par craquer pour cette femme "qui aspire à tant à être aimée".

Le chanteur et acteur a cependant refusé de quitter Françoise Hardy, la mère de son fils Thomas.
Et il a dans la foulée mis un terme à leur histoire, "laissant Romy dévastée". Il lui aurait fait croire qu’il aurait pu aller très loin avec elle.
"Je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi malheureux. L’attirance était là. Mais je ne l’ai jamais respectée", a—t-il indiqué.

Alain Delon est quant à lui resté très proche de la regrettée actrice jusqu’à sa disparition en 1982. Il garde d’ailleurs dans son porte-feuille une photo de l’actrice sur son lit de mort.

Il avait déjà eu l’occasion de parler de leur rencontre.

« Tu arri­vais de Vienne et j’at­ten­dais, à Paris, avec un bouquet de fleurs dans les bras que je ne savais comment tenir. Mais les produc­teurs du film m’avaient dit : “Lorsqu’elle descen­dra de la passe­relle, vous vous avan­ce­rez vers elle et lui offri­rez ces fleurs.” Je t’at­ten­dais avec ces fleurs, comme un imbé­cile, mêlé à une horde de photo­graphes. Tu es descen­due. Je me suis avancé […] Et puis rien, pas de coup de foudre, non », s’était-il rappelé.

« Et puis je suis allé à Vienne où l’on tour­nait le film. Et là, je suis tombé fou amou­reux de toi. Et tu es tombée amou­reuse de moi. Souvent, nous nous sommes posé l’un à l’autre cette ques­tion d’amou­reux : “Qui est tombé amou­reux le premier, toi ou moi ??” Nous comp­tions “Un, deux, trois ?!” et nous répon­dions “Ni toi ni moi ?! Ensemble ?!” ».