Celle qui s’est mariée ce week-end dans le plus grand secret en région parisienne avec le réalisateur Samuel Benchetrit s’est confiée dans les colonnes de "Madame Figaro", où elle n’a pas échappé à une question sur les critiques dont son dernier film ""Un couteau dans le cœur", a fait l’objet lors du dernier festival de Cannes.
"Je ne lis pas les critiques, ni les bonnes ni les mauvaises. Je ne sais qu’une chose : je suis dingue du film, du réalisateur, de mes partenaires, de l’aventure qu’on a vécue ensemble. À Cannes, tout est décuplé, la violence aussi", confie-t-elle.
"Je n’aime ni le lynchage ni la moquerie : je suis pour la bienveillance. Je m’étonne que les critiques usent d’une agressivité hors de proportion derrière leurs stylos ou leurs claviers, en faisant si peu de cas du travail et de l’investissement que représente un film. Ce n’est pas juste, bien sûr, mais j’imagine que c’est la règle du jeu au Festival de Cannes, où les films sont surexposés", dit-elle.