Ce cliché aurait été pris à la fin des années 70. Vanessa Paradis devait être âgée de quatre ou cinq ans.
Son enfance, celle qui partage la vie de Samuel Benchetrit l’avait passée à Villiers-sur-Marne, dans le 94.
« Des parents extraordinaires qui m’emmenaient partout, confiait-t-elle l’an dernier dans Vogue Paris. Ma mère venait d’une famille bourgeoise. Je me souviens que ma grand-mère m’a fait manger une pêche couteau-fourchette ! Mon père, lui, vient d’un milieu prolétaire, l’aîné de cinq enfants qui a commencé à bosser à 14 ans et qui a tout appris tout seul. Mon père est un artiste, un passionné, hyper cultivé. Il a 72 ans et passe sept jours sur sept dans son atelier. C’est mon idole ».
« Il est pudique, très drôle et bon vivant (...) Ma mère, c’est la femme solide et pragmatique dans toute sa splendeur, expliquait-elle ensuite. C’est ma confidente, mon amie et elle s’occupe de mes affaires car, moi, je n’ai jamais rempli une seule paperasse de ma vie. Elle veille aussi sur les affaires de ma soeur [Alysson, jeune maman avec son compagnon, l’acteur Guillaume Gouix ] ».