A l’Elysée, où elle avait fait son entrée après la victoire de François Hollande, duquel elle est désormais séparée, Valérie Trierweiler ne se sentait pas à sa place.
’Je ne veux pas toute ma vie être ramenée à ces années qui ont été importantes dans ma vie.
Je veux qu’on me laisse la chance de vivre ma vie’, confie tout d’abord la journaliste de ’Paris Match’, très engagée dans l’humanitaire depuis son départ de l’Elysée.
’J’ai peur que l’on continue à mal me juger. A me prendre pour ce que je ne suis pas.
Ce que je crains aussi – et je m’aperçois que c’est encore le cas – c’est de rester perçue uniquement comme l’ex de François Hollande’, poursuit celle que Voici affirmait au printemps dernier en couple avec un banquier.
Valérie Trierweiler évoque ensuite ses dix-huit mois à l’Elysée.
’Ce milieu est hors-norme. C’est une bulle’, dit-elle. ’J’avais l’impression d’être un ovni sur cette planète élitiste’.
’C’est un lieu qui coupe de la réalité. Je m’y suis peut-être perdue moi-même’, ajoute Valérie Trierweiler à laquelle elle est par ailleurs demandée s’elle allait soutenir François Hollande à la présidentielle de 2017 ?
’Je suis de gauche et je le reste, mais j’aimerais que la politique soit plus à gauche.
S’il faut faire barrage au Front national ou à la droite, évidemment, je le ferai.
Je ne crois pas qu’il y aura de primaires à gauche’,prédit la journaliste.
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