Sylvie Vartan, « conster­née », livre sa vérité l’héritage de Johnny Hallyday

– par Christophe Wiedemann
Sylvie Vartan, « conster­née », livre sa vérité l'héritage de Johnny Hallyday

Alors que le clan Hally­day est scindé en deux pour une question d’héritage, Sylvie Vartan brise le silence pour se porter au secours de son fils David Hally­day, qui aurait été déshérité par son père.



Ce que la chanteuse ne se supporte pas, c’est les rumeurs et les fausses nouvelles au sujet de son fils unique.

Johnny Hallyday est supposé lui avoir fait don de 50 % d’une propriété de 400 m2 avec 600m2 de terrain à la Villa Mont­­mo­­rency dans le 16e arron­­dis­­se­­ment.

Ce propos est en partie mis en doute par Sylvie Vartan.

« Arri­vant à l’ins­tant à Paris, je suis conster­née des fausses infor­ma­tions qui circulent à dessein, insi­nuant que mon fils David aurait été grati­fié d’une partie de la maison que nous avions ache­tée à Paris avec son père il y a plus de 30 ans ?!La réalité est évidem­ment toute autre » a confié Sylvie Vartan, en faisant allusion à cette rumeur.

« Lors de notre sépa­ra­tion après 18 ans de vie commune, j’ai pure­ment et simple­ment refusé dans le cadre de notre divorce de rece­voir de Johnny, sous forme de dona­tion, sa part de la maison préfé­rant que cela revienne direc­te­ment à notre unique fils. C’est d’ailleurs ce qu’in­diquait très clai­re­ment notre juge­ment de divorce. C’est moi, et moi seule, qui ait voulu grati­fier notre fils, ne voulant rien rece­voir à titre person­nel de mon ex-époux lors de notre sépa­ra­tion », indique-t-elle.

« Comble de tout, j’ap­prends à l’ins­tant, que Johnny aurait aussi payé le redres­se­ment fiscal de notre fils. Tout ça est scan­da­leux ?! Ce n’est n’est que fabri­ca­tion et mensonge. Evidem­ment, je comprends bien les raisons pour lesquelles on cherche à traves­tir la vérité afin d’at­teindre mon fils. Pouvez vous imagi­ner une seule seconde ce que peut ressen­tir David, artiste lui même, fils d’ar­tistes, d’être privé de tout droit de regard sur la gestion de l’hé­ri­tage artis­tique de son père, glisse-t-elle. Ça me sidère. C’est pour cela que je ne peux le tolé­rer et sort ainsi de ma réserve ».