« Voilà, plus de place pour les sans-abri, mais en même temps les centres pour migrants continuent à ouvrir partout en France. Ouverture aujourd’hui d’un centre humanitaire pour héberger 400 hommes porte de la Chapelle à Paris, la mairie prévoit 50 à 80 arrivées par jour. Centre très provisoire pour les héberger quelques jours avant de les orienter ailleurs ! », avait-t-il lancé.
Ce coup de gueule, le journaliste vedette de TF1 l’avait déjà lancé sur les réseaux sociaux. Il dénonçait la construction d’un camp de migrants en région parisienne.
Sa grande crainte, c’est l’installation d’un « Calais bis » qui serait prévu « à deux pas du centre commercial Parly 2, à proximité du parc historique de Marly, et à 3 km du château de Versailles.
« Si ça se confirme, ce serait une hérésie en termes de sécurité pour les petites communes de la région », expliquait-t-il sur sa page Facebook.
Interrogé à ce sujet ce week-end dans l’émission de Thierry Ardisson, le journaliste a justifié ses propos.
« On met les informations côte à côte en fonction de ce qu’elles sont et pas en fonction d’une certaine bien-pensance. (...) J’ai mis les informations côte à côte et on m’a accusé de vouloir les mettre en opposition. Non, je n’ai que fait mon métier de journaliste », dit-il.
Et d’ajouter : « Même le CSA s ’en est occupé et a regretté ce que j’ai dit. Si j’avais à le redire demain, je le redirai ».