L’acteur, qui a apposé son nom dans Le Figaro, lève un coin de voile sur ses motivations dans une récente interview sur RTL.
« Ce n’est pas la question de se désolidariser de la tribune. C’est simplement de rectifier, comme l’a fait Yvan Attal, en disant simplement que c’est un acte tout à fait citoyen, puisque je ne connais pas Depardieu », souligne Gérard Darmon. Le comédien précise ensuite le caractère éphémère de sa relation avec son collègue.
« Ce n’est pas un ami, ce n’est pas un copain. J’ai tourné une scène avec lui, il y a longtemps, dans Astérix », a-t-il confié.
« Ce qui m’insupporte, c’est le procès médiatique avant même de savoir s’il est coupable ou pas, il y a quand même une présomption d’innocence », a fait savoir Gérard Darmon qui met en garde contre les raccourcis faciles.
« Attention, dire ’on touche à Depardieu, on touche à l’art’ et tout ça, c’est des conneries », souligne-t-il, ajoutant que « Depardieu est un prétexte pour moi en définitive, il faut arrêter ce genre de raccourci ».