L’hebdomadaire qui offre sa couverture à la starlette de télé-réalité a relayé une anecdote racontée par Nabilla dans laquelle elle se moque gentiment de l’accent de son homme.
« Autre séquelle probable de (la prison). J’ai toujours froid », écrit la jolie brune. « Je me couche avec un sèche cheveux allumé sous les draps, le ronron, ce souffle chaud me bercent, et m’aident à trouver le sommeil ».
« Thomas se prend les pieds dans le fil. Mon sèche cheveux le fait râler ’Té une follé toa’. Mais il attend que je dorme pour ranger le babyliss », a-t-elle ajouté.
Nabilla a également parlé de la séparation de ses parents, et de sa relation avec son père avec lequel elle avait repris secrètement le contact en se faisant passer pour une journaliste.
« C’était il y a un an et demi. J’avais un peu changé ma voix, pour faire la journaliste, lui poser des questions. J’ai fini par dire : ’Mais vous l’aimez toujours, votre fille ?’ Quand il a dit oui, j’ai bouclé et fondu en larmes. Il va découvrir que c’était moi dans le livre, c’est ouf. Je ne l’ai pas rappelé depuis », a confié l’ex-star des Anges lors d’une interview accordée au quotidien suisse « Le Matin ».
« J’ai dû m’élever toute seule, quand je me suis retrouvée avec elle. J’avais eu une barrière trop radicale avec mon père, puis une façon trop laxiste de ma mère : j’étais vraiment un électron libre », raconte l’ex-meilleure amie d’Ayem.