Marnes-la-Coquette vendue : l’acte qui a brisé Laeticia et toute la famille Hallyday

– par Nolwenn A. Dalpiva
Marnes-la-Coquette vendue : l'acte qui a brisé Laeticia et toute la famille Hallyday

Sept ans après la disparition de Johnny Hallyday, sa veuve, Laeticia Hallyday, a enfin tourné une page cruciale et très douloureuse. Alors que le Taulier a laissé derrière lui un nombre « incommensurable de tubes », il a également laissé des « dettes fiscales conséquentes » avoisinant les « 36 millions d’euros », selon Paris Match.



Ce fardeau financier appartient désormais « au passé », puisque « Laeticia Hallyday a fini de rembourser toutes les dettes ! ».

À lire : Laeticia Hallyday conquise : Serge Varsano, débarque sans prévenir et la suit jusqu’à L.A. !

Pour éponger cette somme colossale, celle qui partage désormais la vie du milliardaire Serge Varsano a dû procéder à des ventes stratégiques, mais déchirantes.

À lire : Portrait de Serge Varsano, le milliardaire qui a conquis Laeticia Hallyday : une carrière titanesque dans le négoce mondial

Elle a notamment cédé la célèbre « villa de Marnes-la-Coquette » » (estimée à « 7 millions d’euros »), lieu emblématique où ses filles ont grandi et où Johnny est décédé en 2017.

Elle a également été « contrainte de vendre la maison d’Amalfi Drive à Pacific Palisades, en Californie » pour « 14 millions d’euros » en 2021.

Enfin, les fans du Taulier ont vu partir des biens symboliques de la légende, comme sa Rolls Royce, sa Lamborghini, et ses « emblématiques motos ».

La vente des demeures, notamment celle de Marnes-la-Coquette en Île-de-France, fut un « sacrifice intolérable » pour Laeticia Hallyday, rapporte Paris Match.

La maman de Jade et Joy, qui ne pouvait se contenter des seules « royalties » pour maintenir son train de vie, a été particulièrement éprouvée.

L’une des maisons qu’elle a achetée après la vente d’Amalfi Drive a d’ailleurs « disparu dans les flammes de l’incendie de Los Angeles » en janvier dernier. Selon une personne de son entourage, « Laeticia a hurlé de douleur » à ce moment-là.

Le même sentiment a traversé toute la famille lors de la vente de la résidence française. La grand-mère paternelle de Laeticia, « Mamie Rock », se lamente auprès de Paris Match : « La vente de Marnes-la-Coquette, oh ne m’en parlez pas, se lamente […] Qu’est-ce que j’ai pleuré… ». Un « véritable traumatisme » que personne dans la famille de « l’idole des jeunes » n’a oublié.