« Tout est parti de son histoire, explique Karim Benzema, qualifié pour la finale de la Ligue des Champions. On ne sait pas la vérité. En plus, quand je l’entends dire maintenant qu’il est prêt à rejouer avec moi, qu’il ne m’en veut pas… Il y a vraiment quelque chose qui ne va pas chez lui ! A l’entendre au départ, je suis une racaille, je l’ai menacé, je lui ai fait peur, tout ce que tu peux inventer… Et là, il veut rejouer avec moi ! ».
« Il dit qu’il n’aurait pas porté plainte s’il avait su que j’étais mêlé à cette histoire, poursuit le footballeur.
Mais il se fout de la gueule du monde. Il a pété les plombs ou quoi ! En fait, lui, c’est comme ça. (Il claque des doigts.) Moi, ça fait plus d’un an et demi que je suis son pire ennemi, un mauvais exemple, un voyou, que je dois pas me faire sanctionner, qu’on me traine dans la boue, qu’on salit mon nom et ma famille. Ça fait presque deux ans qu’on m’interdit de voir mon meilleur ami (Karim Zenati), sinon on va en prison, et lui, c’est tranquille. Mais il faut qu’il arrête ses conneries ! Et je ne sais pas pourquoi il continue de parler de moi, déjà ».
« Je suis son ennemi, j’ai voulu lui prendre de l’argent. Il faut vraiment qu’il arrête d’inventer, lâche Karim Benzema. Il me rend fou à continuer de mentir ! Tout ça vient de lui, cette affaire de sextape. Il avait juste à dire la vérité sur ce qui s’est vraiment passé. Derrière, il n’y aurait pas eu tout ça. Il continue à jouer sur plusieurs tableaux. Et n’arrête pas de parler de moi dans toutes ses interviews, comme s’il était mal ».