
Jamel Debbouze et Mélissa Theuriau ont apporté un soutien indéfectible à leur fils Léon, âgé de 16 ans, victime d’une vague de cyberharcèlement.
En pleine promotion de « Pourquoi j’ai pas mangé mon père », Jamel Debbouze fait la Une de l’édition du mois d’avril du magazine « GQ », où il revient sur son parcours, évoque son film, mais livre également des confidences sur sa famille, surtout sur sa mère, « la femme la plus drôle qui soit ».
« Je fais gaffe à ça, rester au contact de la vérité, du sol. Le hall de bâtiment, c’est là que j’ai appris à danser, c’est là que j’ai entendu Nova pour la première fois, que j’ai embrassé une fille. Je crois que, quand tu es né pauvre, tu le restes un peu toute ta vie dans ta tête », confie tout d’abord l’humoriste à propos de ses origines modestes.
Et de confirmer ensuite que sa force, il la tient de sa maman qui a le don de « dédramatiser les choses ».
« C’est la meuf la plus drôle que je connaisse. C’est vrai qu’elle a dédramatisé beaucoup de choses : les soucis, l’argent, la misère, tout, tout le temps », affirme le mari de Melissa Theuriau.
« La première année où Bardot avait fait son esclandre sur les moutons, dans les années 1980, on habitait à Barbès et on avait 3 moutons dans un F3, un par pièce, quoi ! Un jour, un flic frappe à la porte, et ma mère qui cachait le mouton, elle ouvre. Le flic lui demande "il y a des moutons ici ?" et ma mère "des moutons, ici ?! Non ! Ça va pas ? Non, pas de mouton ici !" Le flic s’en va, il est sur le point de descendre et il entend "bêê bêê", il se retourne et ma mère fait "bêê bêê". Même dans un film, t’y crois pas ! », a-t-il expliqué à « GQ ».
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