
Alors que les élections législatives anticipées approchent à grands pas, Marianne James a livré son avis, en s’en prenant au Rassemblement National, porté par Jordan Bardella. Et elle a été critiquée pour avoir donné son avis.
Comme le rapporte Le Parisien, les coulisses de la politique française sont souvent « le théâtre de rivalités et de jeux d’influence ». La brouille entre Emmanuel Macron et Gabriel Attal en est une illustration frappante.
Selon des sources proches de l’Élysée, le chef de l’État n’a pas apprécié de voir son jeune ministre « s’arroger la primeur de la stratégie de front républicain », une initiative qu’il estime avoir « personnellement inspirée ».
« Le président trouve que Gabriel en a trop fait », confie au parisien un proche de Macron.
« Gabriel, c’est un peu Monsieur Moi-je », tranche en outre un interlocuteur régulier du chef de l’État. Ce dernier se sent parfois éclipsé par Attal, dont les interventions publiques donnent l’impression qu’il y a un "avant et un après-Gabriel Attal", à l’instar de "l’avant et l’après-Jésus-Christ".
Un conseiller de l’exécutif, témoin amusé de ces tensions, souligne une certaine ironie dans la situation.
« Le président trouve que Gabriel en a trop fait alors qu’il lui doit tout. En même temps, Macron avait fait pareil avec Hollande avant. C’est un peu l’arroseur arrosé ! » observe-t-il.
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