La paix entre les peuples peut parfois être difficile à atteindre, comme en témoigne la récente controverse entourant Enrico Macias et Jamal Belaïdi, rapporte le France Dimanche.
Dans une interview accordée au Parisien, Enrico Macias évoque sa complicité avec son fils Jean-Claude, avec lequel il a collaboré pour les besoins de son dernier album.
« Notre première collaboration n’a pas été facile pour moi. J’avais l’habitude de m’assumer tout seul. Soudain, Jean-Claude me disait : ’Il faut jouer comme ci, chanter comme ça.’ Je lui répondais : ’Mais je suis ton père, quand même ! », se confie le chanteur de 76 ans dont le propos est confirmé par son fils, Jean-Claude, pour qui, il fallait faire ses preuves ailleurs pour gagner en crédibilité au yeux de son père.
« La musique, pour moi, c’était un luxe, ça n’était pas acquis », dit celui qui a toujours été attiré par cet univers.
« Rappelle-toi, tu ne parlais pas encore que tu avais une pile de 45 tours avec un tourne-disques et on te demandait : ’Mets Marie Laforêt.’ Tu triais à toute vitesse et tu le trouvais », lui rappelle son papa.
« Je me souviens de Johnny et Mort Shuman qui passaient à la maison, de Mike Brant qui a habité un moment chez nous. Ce que j’adorais, c’était les répétitions dans notre grand appartement. J’avais 5-6 ans, je rentrais de l’école et il y avait un orchestre qui jouait dans le salon. C’était génial. J’étais attiré par les instruments », se rappelle celui qui
a été musicien de jazz, arrangeur et directeur artistique chez EMI.
« Maintenant, en studio, je suis son fils et il est mon père », précise Jean-Claude Ghrenassia.
">18 mars 2016Enrico Macias : « J’ai appris grâce à mon fils ! »
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