Emmanuel Macron, sa mère a failli être emportée par une septicémie

Dans son livre « ?Emmanuel Macron un jeune homme si parfait ? », Anne Fulda, qui officie à la rédaction du Figaro, dresse le portrait du candidat d’ « En Marche » à la présidentielle, non seulement sur le couple qu’il forme avec Brigitte, mais aussi sur son parcours.
« Emmanuel, Jean-Michel, Frédéric Macron pousse son premier cri le 21 décembre [1977], à Amiens. Peu de temps après le sacre de Bokassa qui s’était autoproclamé empereur de la République centrafricaine. Le petit Emmanuel ne naît pas, lui, ceint d’une couronne et avec un sceptre à la main. Mais c’est tout comme. Car il est attendu. Très attendu. Avec émotion et appréhension », écrit-elle.
Le candidat à la présidence de la république nait en effet un peu plus d’un an après la mort d’une petite fille qu’on eue ses parents, aujourd’hui divorcés.
Celle-ci n’a pas eu le temps d’avoir un prénom. Sa mère a aussi failli être emportée par une septicémie.
« Fini ces sombres souvenirs ! Ce 21 décembre, à 10 h 40, tout est balayé. Tout est à leur joie retrouvée, Françoise et Jean-Michel Macron, les heureux parents, décident d’appeler leur fils Emmanuel. Pourquoi ? "Ca s’est décidé comme ça" dit le père. "On trouvait ça joli. Un aumônier qui est passé peu de temps après dans la chambre de la maternité leur a dit que ce prénom dérivé d’un prénom hébreu "voulait dire fils de Dieu », écrit Anne Fulda dont les bonnes feuilles du livre ont été relayées par Gala et Closer.