Eliza­beth II pour­rait empê­cher Meghan Markle d’épou­ser son prince. La loi l’autorise

– par Nora Semlali
Eliza­beth II pour­rait empê­cher Meghan Markle d'épou­ser son prince. La loi l'autorise

S’il est une personne que le prince Harry doit convaincre pour son mariage avec Meghan Markle, sa compagne depuis un an, c’est la reine Elisabeth II.



Comme le rappelle Gala, la souveraine dispose d’un droit de veto sur les mariages des membres de la famille royal.
Et elle tient ce droit d’une loi organique sur les mariages royaux votée en 1772 par le parle­ment britan­nique.
Cette loi avait été modifiée en 2013.

Pour qu’un des six membres proches de la famille royale, à savoir le prince Charles, le prince William, le prince George, la prin­cesse Char­lotte, le prince Harry et le prince Andrew, se marie, il doit obtenir l’aval de la reine, qui dispose d’un veto.

Le prince Harry doit donc convaincre sa grand-mère.

Le cinquième dans l’ordre de succession à la couronne britannique aurait d’ailleurs demandé au printemps dernier « son assentiment à Queen Elizabeth, laquelle le lui aurait donné ».
« Les voyants sont donc au vert pour les fiançailles, qui devraient avoir lieu avant la fin de l’année », rapportait le Daily Mail.

Voici affirmait aussi que les fiançailles du prince Harry et de sa compagne Meghan Markle ne tarderont pas à être annoncées.

« Harry et Meghan se connaissent depuis un an, ils s’aiment et ne perdent plus une occasion de se voir », rapportait le magazine people.

« Pour tout dire, l’actrice a même mis sa carrière entre parenthèse afin de pouvoir être avec son prince charmant plus souvent. A ce rythme là, l’annonce des fiançailles ne saurait tarder. Et puisque Meghan accompagnera Harry au mariage de Pippa Middleton, nul doute que cela leur donnera des idées », prédisait la publication.
Inter­rogé sur il y a peu sa rela­tion avec Meghan Markle, le Prince Harry a livré une réponse toute timide.
A l’oc­ca­sion de la campagne de sensi­bi­li­sa­tion contre les troubles mentaux, lancée en partenariat avec l’as­so­cia­tion Heads Toge­ther, le cinquième dans l’ordre de succession à la couronne britannique a répondu aux ques­tions de Sky News sur sa vie sentimentale.

« Oui, ça se passe bien, pour moi… et pour tout le monde », répondait-t-il à une question dans ce sens avant recen­trer son discours sur la cause qu’il était venu défendre : « Je veux que ce soit le cas pour tout le Royaume-Uni égale­ment. Je ne supporte pas l’idée de voir des gens souf­frir en silence, quels qu’ils soient ».