Elise Lucet se construit après la mort de son mari

– par Nolwenn A. Dalpiva
Elise Lucet se construit après la mort de son mari

Elise Lucet est à l’honneur dans les colonnes de Gala, qui dresse à cette occasion un portrait de la journaliste star de France 2.



’Elise Lucet n’a jamais eu froid aux yeux. Petite, assise devant le poste de télé­vi­sion fami­lial, elle aurait même annoncé à sa mère qu’elle pren­drait un jour la place de Chris­tine Ockrent’, rapporte tout d’abord l’hebdomadaire que précise tout de même que l’intéressée
ne garde aucun souvenir de cette anecdote.

’Depuis toute petite, je n’aime pas qu’on me prenne pour une idiote. Je n’ai jamais tenu pour argent comp­tant le discours que l’on me servait. J’étais même capable de remettre en cause ce que me disaient mes profes­seurs’, raconte ensuite celle qui serait adepte des ’jour­nées de travail de treize heures non-stop’.

Elle prend ’à peine le temps de déjeu­ner d’un plateau de sushis, elle a long­temps fait passer sa vie profes­sion­nelle avant sa vie privée. Elle voulait être sûre de son choix. Elle a attendu la quaran­taine avant de se fixer’, indique ’Gala’.

’Je voulais construire une famille. Avec une maman et un papa’, a confié Elise Lucet, maman d’une petite fille, Rose, fruit de sa relation avec Martin Bour­geois, un antiquaire.

’Lui dans le passé, moi dans l’ave­nir. C’est un bon équi­libre’, se réjouis­sait-elle.

Elise Lucet a malheuesement perdu son homme en 2011 des suites d’un cancer.
’Quand on a vécu ce genre de choses, on n’a plus peur de grand-chose. Après, il y a une construction personnelle’, explique la journaliste, en parlant de ce drame.
’Je me sens à nouveau une grande liberté. Peut-être que c’est la maturité, peut-être que je commence à ressembler à moi-même et à n’avoir pas peur de montrer qui je suis’.