Charlotte Casiraghi, angoisse, choses horribles, étrange confidence

– par Nora Semlali
Charlotte Casiraghi, angoisse, choses horribles, étrange confidence

Ses angoisses, des choses horribles, Charlotte Casiraghi en parle lors d’un entretien avec un média espagnol, où elle se livre.



L’héritière Grimaldi est attendue dans quelques jours en Espagne avec Robert Maggiori, avec qui elle a écrit l’Archipel des passions, dont l’édition espagnole vient d’être publiée.

Et en attendant leur apparition ce week-end à un festival culturel non loin de Madrid, Charlotte Casiraghi et son ancien professeur de philosophie se sont livrés lors d’un entretien accordé au média espagnol ABC, où le déclin et la fin de notre civilisation, évoquée par Céline’, ont été évoqués.

’Nous n’aimons pas la pourriture’, lance Robert Maggiori, sans doute en référence au passé de Céline, qui s’est illustré durant la seconde guerre par des pamphlets antisémites.
’En même temps, il y a comme une ’force", un ’feu" dans le désespoir’, répond de son côté la fille de Caroline de Monaco.

’La haine peut être une obsession de la destruction de l’autre’, ajoute Robert Maggiori, en prenant pour exemple les djihadistes islamistes de Daech, qui ne se contentent pas de tuer, mais veulent aussi ’montrer’ les images abominables pour insuffler la peur, et ainsi ’prouver leur existence monstrueuse’.
C’est à ce moment là que la femme de Dimitri Rassam s’est illustrée par une surprenante confidence.

’La terreur, la peur, l’angoisse peuvent être présents dans certains rêves, des choses horribles’, a-t-elle indiqué, semblant parler de son cas personnel, sans toutefois rentrer dans les détail.