Céline Dion, le miracle de Noël ? Son retour, ses fans y croient
Céline Dion défie la maladie avec courage et grâce, et comme le rappelle le magazine Closer, qui rappelle que dans son édition de cette semaine, que ses fans croient fermement à...
Céline Dion : Les derniers mots émouvants de René Angélil avant sa mort, elle lève le voile
C’est le 14 janvier 2016 que René Angélil, le mari de Céline Dion, est décédé des suites d’un cancer de la gorge. Et quelques années avant sa disparition, ses ultimes paroles sont révélées.
Un grand tourbillon a suivi sa disparition ! Son épouse a été plongée dans une période d’immense tristesse, est-il rappelé dans le livre « Dis-moi Céline », signé Laurence Catinot-Crost et paru le 30 août 2023.
Cet ouvrage plongé dans l’intimité de cette histoire et révèle une demande étonnante que René Angélil a faite juste avant sa mort, prémonitoire de son décès imminent.
Le 12 août 2014, le monde de Céline Dion, qui souffre actuellement d’une maladie neurologique, s’est effondré lorsque René Angélil a été diagnostiqué avec une tumeur cancéreuse.
Ce fut le début d’une lutte acharnée contre la maladie qui a duré deux ans, avec Céline à ses côtés. Le livre « Dis-moi Céline » nous emmène dans les dernières heures de René avant son décès, où il a eu un échange émotionnel avec la mère de ses enfants, qui se préparait pour son spectacle au Caesars Palace de Las Vegas.
Il lui a dit : « Je te souhaite un bon spectacle et je t’aime ».
Ces mots sont devenus un précieux souvenir de leurs derniers moments ensemble.
Une demande inhabituelle que René Angélil a faite à Céline Dion avant de mourir, a aussi été révélée.
Il avait choisi la chanson « 3h20 » pour ses propres funérailles. Céline, bien que surprise, a respecté son vœu sans poser de questions. Cependant, la coïncidence est frappante puisque René Angélil est décédé le 14 janvier 2016, à l’heure presque exacte de 3h20 du matin. Céline décrit ce moment comme une étrange synchronicité, un moyen pour René de contrôler sa propre mort.
« Ce soir-là, je n’ai pas voulu le réveiller. C’est l’infirmière qui l’a trouvé le lendemain. Affolée, elle est venue me chercher. J’ai fermé la porte derrière moi et j’ai appelé le médecin, que j’ai dû réconforter : ’René ne souffre plus, c’est mieux ainsi. Le coroner a dit que, d’après la température du corps, il serait parti entre trois heures et quatre heures. Je n’avais plus de questions. L’heure de son décès, l’heure de cette chanson, où il voulait cette chanson-là ».
Aller plus loin
Ces articles devraient vous intéresser :
