Carole Bouquet, sa surprenante hantise des parfumeries

Un média italien, Oggi, a rappelé que Carole Bouquet n’a pas eu une enfance très facile, en marge d’un dossier consacré à la vie sentimentale de son fils, le producteur Dimitri Rassam, dont la relation avec la fille de Caroline de Monaco ne serait pas si apaisée.
Cette dernière allégation a été mise en doute.
Ce qui est sûr en tout cas, c’est que Carole Bouquet n’a pas eu une enfance facile. Elle a été éduquée par son père, après que son mère a quitté le domicile conjugal. Et elle n’a pas appris à être une femme. Entrer dans une parfumerie est impossible pour elle.
’Comme j’ai été élevée par un homme, jamais, par exemple, je n’ai envisagé de ne pas travailler’, confiait l’ex James Bond Girl dont la beauté a toujours été saluée. ’J’ai aussi appris à ne pas trop me regarder dans un miroir, parce que lui ne se souciait pas de son apparence. Et chez les bonnes sœurs, il n’y avait pas beaucoup de recherche de féminité ! Pendant très longtemps, jusqu’à il y a très peu de temps d’ailleurs, vous ne m’auriez pas fait dire que j’allais chez le coiffeur’, disait Carole Bouquet, qui se sentait même honteuse.
’J’en avais honte. Aller chez le coiffeur, c’était le comble du luxe, de la futilité. J’ai été un peu guérie par des amies médecins, écrivains, qui s’intéressent au maquillage. Grâce à elles, j’ai compris qu’on pouvait être à la fois brillante et féminine. J’apprends petit à petit, mais vous ne me ferez jamais entrer dans une parfumerie’, avait confié celle qui a récemment goûté à deux reprises aux joies d’être grand-mère.