Brigitte Macron - Pourquoi le person­nel de l’Ély­sée l’apprécie

– par Nolwenn A. Dalpiva
Brigitte Macron - Pourquoi le person­nel de l'Ély­sée l'apprécie

Brigitte Macron s’est très facilement faite à la vie à l’Elysée, où elle est rentrée par la grande porte. Et elle serait même très appréciée par les 850 employés du château.



Son implication et son sérieux seraient constamment salués à en croire le magazine Gala, qui affirme dans son édition de cette semaine que la nouvelle première-dame fait l’una­ni­mité.

Le person­nel « appré­cie la Brigitte Touch », et se réjouit que l’épouse d’Emmanuel Macron tranche de manière radicale avec « l’im­pi­toyable » Berna­dette Chirac, laquelle était parfois allée jusqu’à mener « des rondes nocturnes pour hous­piller, au petit matin, ceux qui avaient osé quit­ter les lieux sans éteindre la lumière de leur bureau ».

Brigitte Macron a réussi à trouver sa place avec « décon­trac­tion » et sans forcer.

Soucieuse du « moral de chacun », l’ex professeur de français et de latin s’en enquiert chaque matin.

D’après un proche qui s’exprime sous couvert d’anonymat « sa bonne humeur la protège de la pres­sion et son humour pince-sans-rire lui sert de soupape ».

Aussi chaque matin, vers 9 heures, elle consulte son cour­rier et s’oc­cupe du renou­vel­le­ment du mobi­lier du palais.
De temps en temps, elle aime « rece­voir des amis dans les jardins, privi­lé­giant au menu le pois­son et les fruits de mer ».

Brigitte Macron est installée dans le salon des Fougères de l’aile Madame de l’Élysée, et dispose de deux collaborateurs et de deux secrétaires.

Son agenda de la Première dame devrait être prochainement dévoilé pour faire "la transparence sur les moyens en collaborateurs attribués à la première dame et les missions qu’elle accomplit", assure la présidence de la république.
Mais, comme le précise cette fois Le Parisien, "pas question d’allouer des crédits de l’État ou de bénéficier d’un budget annuel comme les first ladies américaines". "Ça n’est pas dans notre culture et nos usages", ajoute l’Élysée.