« Je ne le critique pas. Je lui donne mon avis et il en fait ce qu’il veut. Ce que je souhaite plus que tout, c’est de ne jamais lui porter préjudice, c’est mon obsession, confie la première dame qui se livre dans les pages du magazine Elle. Si je sens un jour que ma présence est compliquée pour sa présidence, je m’effacerai. Je serais toujours à ses côtés évidemment, mais en retrait ».
Au cours de cet entretien, elle explique qu’avant de rencontrer son homme, elle était une angoissée « terrible ».
« On n’aime pas trop, ça me rassure qu’Emmanuel Macron soit à mes côtés. Lui, je n’ose ps répondre à sa place, mais j’ai l’impression que c’est la même chose. Et ça l’a toujours été. On se vit comme un couple parmi d’autre. Depuis qu’on s’est rencontrés, on est d’accord, on n’est pas d’accord. On se dispute, on arrête de se disputer. C’est très fluide. Tout a de l’importance et rien n’en a. On n’est jamais inquiets », confie la première dame au magazine Elle.

Et de poursuivre : « Moi qui étais une angoissée terrible, je ne le suis plus depuis que je connais Emmanuel. C’est quelque chose de l’ordre de « parce que c’était lui parce que c’était moi’. Un peu comme la conception platonicienne qui veut qu’on rencontre la bonne moitié, qu’elle coïncide. Pour nous, la coïncidence avec autant d’écart d’âge, n’était pas évidente, mais elle est ».
Brigitte Macron explique que lorsqu’elle lit des histoires sur son couple, elle a l’impression de lire « l’histoire de quelqu’un d’autre ». « Pourtant, c’est une histoire simple ».