Le calme de la nuit de jeudi à vendredi s’est brisé chez Valérie Trierweiler, alors que la police a dû intervenir pour mettre fin à une violente altercation entre ses deux fils, âgés de 26 et 29 ans. Un choc pour l’ex-première dame.
Valérie Trierweiler en veut à « Voici », qui avait fait état en avril dernier de sa prétendue idylle avec Charles, un banquier d’affaires.
A l’époque, le magazine people avait affirmé l’ex compagne de François Hollande en couple avec un banquier d’affaires, une idylle qui aurait réjouit le président de la république.
Le nom de famille de ce banquier n’avait pas été précisé. Il était seulement présenté comme ‘un caïd de la finance qui porte la moustache façon Morena. Un pro du placement qui saura sans doute la conseiller pour les bénéfices de Merci pour ce moment’, son brûlot dans lequel la journaliste de « Paris Match » déballait sur sa relation avec François Hollande.
Cette idylle aurait réjouit François Hollande. ’La crise économique ! le chômage ! les guerres intestines au PS. Tout aurait pu miner le plus optimiste des chefs d’état. Mais son ex étant dans les bras d’un autre, François Hollande a toutes les raisons de croire que même le pire des scénarios a une fin’, poursuit la publication.
‘De quoi booster son moral et son ego jusqu’à 2017 ?, avait conclu l’hebdomadaire, qui a été condamné le 17 juin 2015 par le juge des référés du tribunal de Grande Instance de Paris de Paris ’pour avoir porté atteinte à la vie privée et au droit à l’image à de Valérie Trierweiler’.
Cette condamnation a été confirmée par le magazine dans son dernier numéro.
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