Ruth Elkrief piégée ? Elle dément avoir soutenu la pétition choc !

– par Nolwenn A. Dalpiva
Ruth Elkrief piégée ? Elle dément avoir soutenu la pétition choc !

Ce week-end, une pétition visant à empêcher l’ouverture d’un magasin Carrefour City dans le 6e arrondissement de Paris a suscité une vague d’indignation. Et beaucoup ont dénoncé sur les réseaux sociaux un "snobisme" et un "entre-soi bourgeois".



Citée parmi les signataires, Ruth Elkrief a fermement démenti avoir apporté son soutien à cette initiative.

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La journaliste s’estime victime d’une utilisation abusive de son nom !

Il y a quelques semaines, des habitants d’un quartier huppé du 6e arrondissement de Paris se sont mobilisés pour s’opposer à l’ouverture d’un Carrefour City près de chez eux. Leur objectif : préserver leur tranquillité et leur cadre de vie. Une pétition a été lancée, récoltant plusieurs milliers de signatures, dont des noms de personnalités politiques et médiatiques.

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Parmi les opposants présumés à cette ouverture, Le Monde a mentionné des figures comme Pierre Richard, Alain Souchon, Denis Olivennes, la journaliste Ruth Elkrief, ou encore l’ancien ministre Jacques Toubon. Selon les arguments de la pétition, l’implantation de ce magasin participerait au remplacement des lieux culturels et des boutiques historiques par des chaînes et des logements loués sur Airbnb.

Ce samedi 19 juillet 2025, en découvrant la liste des signataires, de nombreux internautes ont fustigé ces personnalités, dénonçant un "snobisme" parisien et un "entre-soi bourgeois". Face à la médiatisation de cette affaire et l’ampleur de la polémique, certaines célébrités ont commencé à contester leur soutien.

C’est le cas de Ruth Elkrief, qui a pris la parole sur X pour "mettre les choses au clair". "Je précise que je n’ai pas signé la pétition contre le carrefour City. J’ai juste répondu dans la rue à l’initiateur que je ne connaissais pas", a commenté la journaliste.

Elle semble très agacée par la situation. Et elle a évidemment tenu à mettre les pendules à l’heure.

« Cela n’était en aucun cas un soutien. Je regrette qu’il ait ainsi utilisé mon nom », a déclaré la journaliste.