« J’ai été aimée, et j’ai souvent été traitée, aussi, non pas comme un trophée, le mot est trop fort, trop complaisant, mais comme... un objet d’exposition », confie la bombe italienne, interrogée sur sa relation avec les hommes.
« Et parfois je ne m’en suis pas rendu compte. Quand je n’ai pas été aimée, lorsque je n’ai été que la représentation d’un ego, j’ai toujours fini par le comprendre au moment où il n’y avait pas le ‘voler bene’ de chez nous, le "vouloir le bien de l’autre », poursuit la jolie italienne, qui ne serait plus un coeur à prendre, affirmait le magazine « Gala » l’an dernier.
« En italien, on dit plus souvent ‘ti voglio bene’ que ‘ti amo’. C’est la base de l’amour : la tendresse, l’amitié, la solidarité. S’il n’y a pas ces sentiments-là dans une relation, ça veut dire que l’amour n’a jamais existé. Mais voilà, ‘chi non risicanon rosica’, qui ne risque rien n’a rien, et tomber amoureux, c’est se confronter à un être qui te met face à ton vrai moi », conclut Monica Bellucci.