
Jean Dujardin, Pierre Niney et Gilles Lellouche ont été entendus par une commission de l’Assemblée Nationale sur les violences sexuelles dans le cinéma. Et cette audience a été critiquée par Marilou Berry. L’actrice semble sceptique.
Alors que l’affaire Richard Berry ne sera sans doute jamais jugée devant un tribunal à cause de la prescription, Marilou Berry a quant à elle arpenté durant plusieurs jours couloirs du palais de justice de Paris.
C’est dans le cadre pour une affaire de vol à mains armées, rapporte le magazine Closer.
La fille de Josiane Balasko a en effet été tirée au sort comme jurée (ainsi que n’importe quel Français inscrit sur les listes électorales".
Et la comédienne a donc siégé du 15 au 26 février "à la cour d’assises de Paris lors d’un procès pour braquage". Installée derrière le juge, Marilou Berry a assisté au procès de Gaël N, et de ses complices, qui ont volé une cargaison d’ordinateurs après avoir "attaqué le camion qui les transportait, à Aulnay-sous bois, en 2018".
Mais l’actrice a surtout fait parler d’elle pour avoir apporté son soutien à sa cousine, Coline Berry, qui a accusé son père, Richard Berry, de viols et d’agressions.
« Le combat est trop inégal. La personne qui a décidé de mener cette guerre sur ce terrain-là est le principal accusé – et présumé innocent –, Richard Berry. Pas ma cousine », a clamé Marilou Berry.
« C’est lui qui a divisé la famille ces dix dernières années ; nous sommes explosés, dissous ». Il est responsable de ce chaos », a poursuivi la comédienne.
« Je le suis depuis sept ans. Depuis que Coline nous a informés de ce qui s’était passé ».
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