Juan Carlos révèle la « vérité » sur sa liaison supposée avec la Princesse Diana dans ses Mémoires choc !
Le roi d’Espagne déchu, Juan Carlos, actuellement en exil aux Émirats arabes unis depuis 2020, publie ses Mémoires, intitulés Réconciliation (éditions Stock), dans l’espoir de « rétablir son honneur ». À 87 ans, l’ancien monarque, surnommé « l’homme aux mille conquêtes » par la presse espagnole, y aborde de nombreux sujets sensibles.
Dans un long portrait publié par Paris Match le 30 octobre, Juan Carlos se montre étonnamment « tendre envers la reine émérite Sofia », son épouse, qui réside à Madrid.
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« Elle n’a pas d’égale dans ma vie et ainsi elle restera, même si nos chemins ont divergé depuis mon départ d’Espagne... », confie-t-il, la qualifiant de « mère de [s]es enfants, une reine remarquable, et une attache affective fondamentale et irremplaçable ».
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Mais le passage qui retient toute l’attention des tabloïds concerne une « folle rumeur » née il y a quarante ans : sa liaison supposée avec la Princesse Diana.
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Les spéculations avaient couru à la fin des années 1980, alimentées par de nombreuses photos prises sur le yacht du couple royal espagnol, où Lady Di et Charles avaient passé trois étés en famille (entre 1986 et 1988), alors que la liaison du Prince de Galles avec Camilla faisait déjà jaser.
Aujourd’hui, Juan Carlos consacre un chapitre de ses Mémoires à ce qu’il qualifie de « fausse rumeur ». Le quotidien britannique The Telegraph révèle que l’ancien roi « écarte d’une phrase lapidaire toute relation intime avec Diana », la décrivant de manière peu flatteuse : « Elle était froide, taciturne, distante, sauf en présence des paparazzi. »
Cette façon « peu élégante » de clore le débat contredit pourtant les dires de la princesse elle-même. Son biographe attitré, Andrew Morton, avait rapporté dans son livre Ladies of Spain (paru en 2013), que Lady Di n’avait que peu d’estime pour son hôte. Elle s’était confiée : « J’étais mal à l’aise lorsque j’étais seule dans une pièce avec lui, même si je peux vous assurer qu’il ne s’est jamais rien passé ».
