Johnny Hallyday - un avoir d’un million d’euros pour la tournée des Vieilles Canailles

– par Nora Semlali
Johnny Hallyday - un avoir d'un million d'euros pour la tournée des Vieilles Canailles

Closer explique la raison pour laquelle Johnny Hallyday doit absolument se produire sur scène à partir du 10 juin prochain, à l’occasion de la première étape des la tournée des Vieilles Canailles.



Ce concert très attendu aura lieu le 10 juin à Lille au stade Pierre Mauroy.
« Pourquoi il veut absolument maintenir la tournée des Vieilles Canailles ? », se demande le magazine people avant de répondre tout de suite à cette interrogation.

« L’envie de retrouver ses potes et de revivre le moment de pur bonheur qu’il décrivait au Parisien fin 2014 ? Oui. Mais le chanteur a une autre raison : l’avoir d’un million d’euros qu’il a déja reçu. de quoi lui donner une petite motivation supplémentaire ».
D’après Closer, les médecins auraient entamé un nouveau protocole, car la tumeur se serait largement étendue, passant des poumons au foie, et même à l’estomac.

Face à cette nouvelle angoissante, Laetitia Hallyday serait flippée à l’idée de perdre son mari. Celle qui a été honorée par la Clarins pour son engagement auprès de « La Bonne Etoile », l’association qu’elle a fondée, se serait réfugiée dans la religion.
Elle se rendrait constamment à l’église pour prier.

« Elle est incroyablement forte. Toutes ses forces sont aujourd’hui concentrées sur Johnny et leurs filles. Heureusement, Laeticia et son manager Sébastien Farran ont décidé qu’elle ne s’exprimerait pas publiquement, mais en privé, elle a un besoin énorme de parler, de se confier », explique cette source qui s’exprime sous couvert d’anonymat.

Mais face à toutes ces informations, l’avocat de Johnny Hallyday a brisé le silence, assurant à cette occasion que ces dernières révélations ne sont pas fiables.

Maître Arda­van Amir-Aslani dénonce aussi des infor­ma­tions menson­gères. Et il en profite pour mettre en garde contre les « fake news » qui pour­raient être relayées dans la presse.
Dans ce court texte, il « regrette qu’une certaine presse croit bon colpor­ter à des fins sensa­tion­nelles des infor­ma­tions menson­gères sur l’évolu­tion de l’état de santé de son client ».