Le Parisien a recueilli les explications d’une avocate spécialisée des questions de succession et rappelle qu’en cette matière, ’la règle est qu’on hérite des actifs et des passifs’.
’C’est-à-dire du patrimoine, mais aussi des dettes, quelles qu’elles soient, sauf si on décide de renoncer à la succession ou de ne l’accepter qu’à concurrence de l’actif net, procédure par laquelle l’héritier ne paie les dettes que dans la limite de ce qu’il a reçu du défunt’, explique la spécialiste.
Le Parisien rappelle que les dettes en question peuvent être enregistrées auprès de l’administration fiscale.
Et dans le cas de Johnny Hallyday, il aurait une dette estimée à 15 millions d’euros auprès du fisc, chiffre avancé par l’ancien avocat de Laeticia Hallyday. Les autorités fiscales se rappèlerait aux souvenirs des héritiers du rockeur, ses quatre enfants dont Jade Hallyday, et son épouse, une fois la guerre autour de sa succession terminée. Ce conflit pourrait prendre fin dans une quinzaine d’années.
Et si la justice française confirme sa compétence en reconnaissant l’application de la loi française, Jade Hallyday, ainsi que sa petite soeur pourraient être contrainte de s’acquitter de la somme rondelette de près 1,5 million d’euros.