Cette décision a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux, où de nombreux internautes expriment leurs doutes et leurs interrogations.
Les commentaires en ligne mettent en évidence une méfiance envers le système judiciaire argentin dans cette affaire. Certains internautes soulignent les liens familiaux entre l’avocat des rugbymen, Libarona, et le ministre de la Justice, évoquant ainsi un possible conflit d’intérêts.
D’autres pointent du doigt les prises de position du gouvernement argentin sur le droit de la femme, suggérant que ce contexte politique pourrait avoir influencé le jugement.
Par ailleurs, l’hypothèse d’un "set-up",, c’est-à-dire d’une accusation montée de toutes pièces, est régulièrement évoquée. Les internautes se demandent si cette affaire n’est pas un exemple parmi d’autres fausses accusations dans ce type de contexte.
Ce qui est sûr, c’est que la justice a tranché en faveur des rugbymen français et que la présomption d’innocence a été préservée.
« Quand on voit le sort qui est réservé aux victimes, on comprend pourquoi certaines préfèrent se terrer dans le silence jusqu’à perdre la vie », peut-on notamment lire parmi les commentaires.