
Frédéric Lopez, le visage familier du dimanche soir sur France 2, se bat contre un ennemi invisible : l’otospongiose, une maladie génétique qui ronge son audition et le rapproche inexorablement de la surdité totale.
La révélation de l’homosexualité de Frédéric Lopez dans le cadre de son émission sur France 2 a été mise en scène par la chaine du service public, estime Emilie Besse dans "La Nouvelle Edition" sur C8.
Ce lundi 7 novembre, Frédéric Lopez a fait son coming-out dans le cadre de son émission sur France 2, « Mille et une vies ».
L’animateur recevait Pascal Pellegrino, journaliste et auteur d’un livre où il témoigne de sa bataille pour devenir papa alors qu’il est homosexuel.
« Les histoires de mes invités me touchent et votre histoire me touche particulièrement. J’ai vécu la même chose. Pendant très longtemps j’ai eu peur de cette homosexualité que je ressentais », expliquait l’animateur.
« Aujourd’hui, je suis quelqu’un qui accepte. Tout le monde le sait autour de moi, je n’en ai jamais parlé publiquement. Uniquement parce qu’il y a des enfants et des adolescents qui se suicident parce qu’ils ressentent ça, et parce que vous le faites à visage découvert, j’ai choisi d’en parler publiquement », ajout ait-t-il.
« Ce sera la seule fois que j’en parle. C’est un message pour tous les journalistes que ça va intéresser. Je n’ai aucune explication à donner, aucune justification », prévenait-il.
De ce coming-out, il en a été question dans la Nouvelle Edition sur C8.
« Ce qui m’a un peu gênée, c’est le teasing de l’annonce. On le savait dès la semaine passée. La production a un peu mis en scène. Il y a eu un petit côté pub un peu dérangeant , a estimé Emilie Besse. L’émission, on ne va pas se mentir, était un peu en difficulté en termes d’audiences et là, il y a eu un coup de projecteur.
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