
Dans le cadre de la promotion de son nouveau spectacle "Lui-même", Gad Elmaleh a accordé une interview à Konbini. L’humoriste est revenu sur des souvenirs plus intimes, révélant notamment l’identité de sa première "flamme".
Depuis maintenant deux ans, Gad Elmaleh assure les représentations dans la salle Joe’s Pub, à New York, pour les besoins de son spectacle tout en anglais, « Oh My Gad ».
Très heureux, l’humoriste de 44 ans a profité d’un passage en France pour se confier sur son rêve américain au micro de Thomas Sotto, sur Europe 1.
« Ce n’est pas que j’ai refusé de parler à la presse française avant, c’est juste que j’étais complètement investi et en immersion dans ce projet. Je voulais vraiment être dans cet univers anglais », a-t-il expliqué.
Celui qui serait toujours un coeur à prendre depuis sa rupture d’avec Charlotte Casiraghi s’est aussi confié sur sa vie à New York, comparant sa vie américaine à une relation amoureuse. « J’ai l’impression que le Maroc c’est ma mère, la France c’est ma femme et New York c’est ma maîtresse. New York m’excite énormément, je peux faire plusieurs choses dans la soirée et j’ai envie d’y revenir ! Mais ça, il ne faut le dire à personne ! », précise-il.
Gad Elmaleh se réjouit que son public américain soit réceptif à ses sketchs.
« J’ai l’impression que l’humour voyage. Les gens comprennent la vision d’humoriste que je leur propose sur des choses universelles. On peut donc parler dans toutes les langues du fait d’être d’ailleurs, des États-Unis, des relations amoureuses, de la sexualité, de l’alcool, de la transgression, de ce qu’on pense de la liberté dans certains pays, des clichés sur les Français, les Américains ou les Marocains... tout cela est vraiment universel et les Américains comprennent très bien ces blagues », a-t-il poursuivi.
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