« Il faut qu’il meure après moi », Françoise Hardy se livre sur Jacques Dutronc

– par Nora Semlali
« Il faut qu'il meure après moi », Françoise Hardy se livre sur Jacques Dutronc

Alors qu’elle vient de sortir un nouvel album, « Personne d’autre », Françoise Hardy s’est confiée à la mati­nale du Monde, où elle revient non seulement sur sa carrière, mais parle aussi de son rapport à la mort.



Celle qui va mieux après avoir lutté contre un cancer du système lympha­tique durant un dizaine d’années explique qu’elle voudrait mourir avant son mari, Jacques Dutronc.

"Les chimios et expé­riences vécues à l’hôpi­tal me pendent au nez", confie dans un premier temps la chanteuse dans le cadre de la matinale du Monde.

Et de préciser ensuite qu’elle n’a pas peur de la mort. Ce qu’elle craint, c’est d’être séparée de son fils unique. "Être sépa­rée de Thomas et lui faire de la peine", est la chose qu’elle craint le plus.

Françoise Hardy se dit par ailleurs certaine "que la mort physique ne marque pas la fin des liens très forts tissés dans notre vie, et qu’elle ne sonne en aucun cas la fin du voyage".

Par crainte que son fils devienne orphelin, elle voudrait mourir avant Jacques Dutronc.

“Il faut qu’il meure après moi. Je lui rappelle chaque fois qu’il me fait part d’un pépin de santé”, rappelle-t-elle.