Drogue à l’Assemblée : la question cash d’Apolline de Malherbe à Sébastien Chenu

Sébastien Chenu, député du Rassemblement national, était l’invité d’Apolline de Malherbe ce mercredi 23 octobre 2024 sur BFMTV. Au cours de cet entretien, il a abordé plusieurs sujets d’actualité, notamment la proposition de budget de Michel Barnier et les faits de société récents.
Cependant, c’est une question inattendue de la journaliste qui a particulièrement surpris le député.
En plein débat sur le projet d’abrogation des retraites, Apolline de Malherbe a brusquement changé de sujet et demandé à Sébastien Chenu : « Vous vous êtes déjà drogué, Sébastien Chenu ? ».
Visiblement peu ébranlé, l’homme politique a immédiatement répondu : « Non, je suis très hostile aux addictions : je bois très, très peu, je ne me suis jamais drogué parce que j’aime trop ma liberté ». Une réponse claire et directe qui montre son opposition à toute forme de dépendance.
Face à cette réplique, la journaliste a tenu à expliquer le contexte de sa question. Il ne s’agissait pas d’une question piège.
« Pourquoi je vous pose cette question : parce que ce matin, Sandrine Rousseau, dans le soutien qu’elle apporte à son collègue, Andy Kerbrat, qui a été pris en flagrant délit d’achat de drogue de synthèse, disait : ’Il y a beaucoup, beaucoup de drogue qui circule à l’Assemblée nationale’ ». Un député R.N évoquait déjà l’existence des drogues à l’Assemblée Nationale.
Ce rappel de l’affaire d’Andy Kerbrat, député pris en possession de drogue, semble avoir motivé cette interrogation directe à l’encontre de Sébastien Chenu.
Cette question, bien que surprenante, s’inscrit dans le cadre d’un débat plus large sur l’utilisation de substances illicites par des personnalités publiques, un sujet qui a récemment refait surface à la suite des déclarations de Sandrine Rousseau. Sébastien Chenu, quant à lui, n’a pas laissé planer de doute sur sa position et son mode de vie, se positionnant clairement contre tout usage de drogue.
?ref_src=twsrc%5Etfw">October 23, 2024Lutte contre le trafic de drogue : "Il faut taper très fort sur les consommateurs, sur les trafiquants évidemment", affirme Sébastien Chenu (RN) pic.twitter.com/BtqpwREKAm
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