Dans les colonnes de Paris Match, l’entourage de Dimitri Rassam s’est exprimé sur sa rupture avec Charlotte Casiraghi, la qualifiant de « douloureuse ». Il a opéré un changement radical dans sa vie. Il serait devenu plus présent pour ses proches.
Le producteur a également fait son retour en juin dernier avec une nouvelle adaptation du Comte de Monte-Cristo, qui a dépassé les 9 millions d’entrées en France. Un immense succès salué par la presse spécialisée.
Parallèlement à ces projets cinématographiques, Dimitri Rassam s’est confié sur sa vie personnelle lors d’une interview accordée à Paris Match. Il est revenu sur son parcours et a évoqué sa relation avec Charlotte Casiraghi, après un premier mariage avec Masha Novoselova.
Cette séparation, il l’a décrit comme une épreuve, tout en cherchant à relativiser.
« On ne peut pas parler d’échec, quand on a connu une histoire d’amour forte et qu’on a des enfants merveilleux", a-t-il expliqué.
"Mais on est altéré par ce que l’on vit, et la remise en question est vertueuse. Dans nos liens familiaux, amoureux, amicaux, professionnels, il est nécessaire de revisiter ce que l’on a réussi et ce que l’on n’a pas réussi. On contrôle si peu. Il faut l’accepter ».
Il a poursuivi en partageant sa vision des relations : « Les contes de fées n’existent pas dans la réalité, mais il faut continuer à croire aux grandes histoires d’amour. Dans un mariage, on sait qu’il y aura des épreuves mais, quand on est jeune, on en prend pleinement conscience. Je peux questionner mes comportements, mais il n’y a pas grand-chose que je ferais différemment en termes de choix amoureux. Dans un couple, il est nécessaire d’arriver à conserver ce qui est beau, quoi qu’il arrive. Ma plus forte angoisse n’est pas la peur de l’échec, c’est la crainte de ne rien vivre ».
Selon ses proches, cette rupture a profondément marqué Dimitri Rassam. Le magazine rapporte qu’il est devenu « plus attentif avec son entourage, hiérarchise mieux les priorités, sait davantage ce qu’il veut ».
François Samuelson a témoigné qu’il a acquis « une sorte de tranquillité intérieure », tandis que Guillaume Houzé a affirmé : « Dimitri a canalisé son feu intérieur. Il a le cinéma dans le sang depuis qu’il est né et il a envie de laisser une empreinte. On n’est qu’au début de sa grande aventure ».
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